Pourquoi la théologie ne pourrait-elle pas se faire à l’occasion buissonnière et prendre les voies de la fiction pour aborder l’un des terrains contemporains les plus sensibles en même temps que les plus riches, celui des relations entre les sciences et la foi ?
Pourquoi la théologie ne pourrait-elle pas se faire à l’occasion buissonnière et prendre les voies de la fiction pour aborder l’un des terrains contemporains les plus sensibles en même temps que les plus riches, celui des relations entre les sciences et la foi ?