Et si, en fin de compte, le ciel des dieux et celui des fusées avaient quelque chose en commun ? Loin de n’y voir qu’un vide insensé, l’homme a toujours pris l’étendue infinie du firmament comme un appel aux aspirations les plus hautes. N’hésitons pas à donner à la conquête de l’espace le souffle philosophique et poétique qui lui revient.
Et si, en fin de compte, le ciel des dieux et celui des fusées avaient quelque chose en commun ? Loin de n’y voir qu’un vide insensé, l’homme a toujours pris l’étendue infinie du firmament comme un appel aux aspirations les plus hautes. N’hésitons pas à donner à la conquête de l’espace le souffle philosophique et poétique qui lui revient.